Les indications de la méthode G.D.S.?

A titre thérapeuthique

 

En se basant sur la notion de terrain prédisposant, la Méthode G.D.S. remonte à l’origine de nombreuses pathologies habituellement regroupées sous le vocable d’affections rhumatismales (arthroses, cervicalgies, dorsalgies, lombalgies, lumbagos, sciatalgies, cruralgies…).

En orthopédie, les troubles statiques de la colonne vertébrale (exès de lordose, de cyphose ou scoliose) en tirent des bénéfice, d’autant plus que l’approche est globale et prend en compte un grand nombre de paramètres entrant en jeu dans ces affections. 

 

Elle propose des solutions efficaces et durables pour le traitement des atteintes des membres inférieurs (coxarthroses, douleurs et troubles statiques des genoux et des pieds…) et des membres supérieurs (périarthrite scapulo-humérale, tendinites du coude, syndrome du canal carpien…), ainsi que pour les séquelles de fractures, d’entorses et d’élongations. 

Elle est utile dans la prise en charges des conséquences locomotrices d’atteintes neurologiques. 

Font également partie de ses applications l’accompagnement périnatal et l’accompagnement du développement de l’enfant ou de l’adolescent sujets à des problèmes corporels ou comportementaux. 

 

A titre préventif et/ou d’entretien

 

Le développement de la présence au corps permet une meilleure gestion au quotidien des douleurs posturales liées aux gestes professionnels, des tensions musculaires dues au stress et prévient l’usure prématurée des articulations. La méthodes G.D.S. propose aussi des stratégies d’entretien pour éviter les récidives et l’apparition de nouveaux dysfonctionnements. 

A tout âge de la vie, elle conduit la personne vers une plus grande autonomie.